Je suis toujours attentif à ce que l'on n'additionne pas les bonnes intentions, ce qui finit par alourdir les processus, et je veille aussi à ce que l'on ne mette pas tout dans la loi, alors que certains sujets relèvent de domaines infra-législatifs. Néanmoins, ces questions qui touchent aux droits de l'enfant sont fondamentales. Elles font partie des choses qui nous préoccupent le plus dans notre volonté d'encadrer l'instruction en famille.