Je peux vous assurer, pour avoir fait du terrain, que les fédérations sportives ne sont pas là pour assurer ce contrôle. Elles ne le veulent pas : elles veulent faire du sport, pas – pour employer une mauvaise expression – du flicage. Elles ont la culture du résultat et souhaitent encore, cinq ans après, s'appuyer sur les services de l'État, qu'il s'agisse des services académiques ou de la préfecture. C'est une forte demande du monde sportif.
J'insiste beaucoup, car, je le répète, je ne comprends pas ce revirement.