Je souhaite revenir sur un point de l'excellent propos de M. Millienne : nous ne proposons pas ici de revenir sur une loi, mais sur une ordonnance de 2015. Et si nous rencontrons des réticences, c'est peut-être surtout parce que son auteur, dans un ministère, ne veut pas défaire ce qu'il a fait. C'est cela, la bureaucratie de notre pays, et je la dénonce !