En 2015, elles n'avaient pas connaissance de ces problématiques. Désormais, elles ne veulent plus ces responsabilités, qui doivent peser sur l'État. C'est pour cela que M. Poulliat et moi-même avons déposé le même amendement !
Quant à renvoyer ces mesures à la proposition de loi consacrée au sport, croyez-moi, c'est un enterrement de première classe, parce qu'elles y seront bloquées.