Seulement 43 % des fédérations sportives ont mis en place des référents radicalisation conformément au plan national de prévention de la radicalisation mis en place par le Gouvernement en 2018. Nous proposons donc que, dans le cadre du contrat de délégation entre l'État et les fédérations sportives, un référent sécurité soit désigné dans chacune des fédérations pour protéger les dirigeants, les bénévoles et les licenciés sportifs, à la fois en France et dans le cadre des déplacements à l'occasion des manifestations sportives internationales.
Le 21/02/2021 à 15:19, Laïc1 a dit :
C'est dans les prisons que les musulmans se radicalisent, pas sur les terrains de sport.
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