Cet amendement, déposé par mon collègue Acquaviva, va dans le même sens que les précédents. Sans faire de procès d'intention aux auteurs de la proposition de loi, il conviendrait d'éviter toute déresponsabilisation des employeurs en explicitant précisément dans la loi que ce passeport ne peut être un moyen de déroger ou d'amoindrir à outrance l'obligation faite aux employeurs de protéger les travailleurs, et même d'indemniser les victimes lorsque les faits sont avérés.
Cet amendement fait suite aux inquiétudes exprimées par de nombreux syndicats de médecins du travail ou encore par la FNATH.