Il vise lui aussi à inclure la prévention des violences conjugales dans le champ de la médecine du travail.
Je vous lis un message que j'ai reçu : « Bonjour madame, bravo pour votre engagement. Je suis moi-même assistante sociale en médecine du travail. Cette formation est nécessaire : nous constatons qu'avec les effets collatéraux du covid, de plus en plus de femmes sont victimes de violences conjugales. Je suis déçue que votre proposition ait été rejetée ; c'est un sujet extrêmement sérieux. Cette prévention est nécessaire et primordiale. »
Dès lors qu'elles permettraient d'éviter un seul féminicide, de sauver la vie d'une seule femme, ces actions de prévention sont nécessaires. Il convient, je l'ai dit, d'accompagner toutes les femmes victimes de violences. Je trouve dommage que vous réagissiez de la sorte, de manière dogmatique, sans considération pour l'intérêt des citoyens.