Nous avons adopté en commission un amendement qui précise que l'offre complémentaire est facultative. Il appartient aux services de prévention de déterminer s'ils doivent en proposer une ; ils sont libres. Ces missions complémentaires s'inscriront évidemment dans les missions des services de santé au travail : où est le mal si l'on souhaite aller plus loin que l'offre socle ? Cela peut permettre de répondre à des besoins spécifiques à certains territoires, par exemple.