Je partage l'avis de la rapporteure sur le fait que la politique d'agrément doit défendre un niveau élevé d'exigences. Pour autant, il paraîtrait trop rigide de la fixer dans un cahier des charges défini par décret. Il faudrait plutôt en décider au niveau régional, pour tenir compte des spécificités locales.
Cela étant, j'entends vos arguments, et m'en remets donc à la sagesse de l'Assemblée en la matière.