Comme je le soulignais pendant la discussion générale, de nombreux patients souffrent, encore maintenant, de symptômes persistants qui les handicapent tous les jours dans leur vie quotidienne, leur travail et leurs relations sociales. L'adoption de cette proposition de résolution est indispensable, mais elle n'est pas suffisante : il faut aller plus loin pour assurer une prise en charge globale de ces patients, qui recouvre à la fois les soins médicaux, la reconnaissance du virus comme maladie professionnelle – et pas uniquement pour les formes graves – et une aide psychologique pour soutenir les malades face aux difficultés quotidiennes liée à cette terrible errance médicale qui dure depuis des mois.
Nous voterons en faveur de cette proposition de résolution, monsieur le secrétaire d'État, mais il faut vraiment aller plus loin et aider ces malades en grande difficulté.