Quand un adulte touche un enfant, il ne peut pas y avoir de consentement. Même si le refus ne peut être exprimé, la contrainte psychologique ou la manipulation doit être constitutive d'un viol ou d'une agression sexuelle. En outre, tout moyen d'empêcher la récidive doit être employé, y compris la castration chimique avec suivi psychiatrique.
Une fois de plus, la République en marche a détourné la discussion par la réécriture forcée de tout un texte en quelques amendements et renvoie les avancées décisives aux calendes grecques et à l'hypothétique aboutissement des travaux d'une commission. Il ne suffit pas, mes chers collègues, de donner une interview au Journal du dimanche pour régler un problème !