Nous nous retrouvons deux ans après l'examen de ce fameux texte, au cours duquel on nous a dit qu'il était impossible de fixer dans la loi un seuil de non-consentement à 15 ans. Et nous en sommes aujourd'hui à nous débattre pour savoir qui, dans cet hémicycle, aura la genèse de cette disposition. Quel dommage et quel temps perdu !