ne faites donc pas ce geste dubitatif, monsieur Pradié… Ceux qui m'ont vu travailler depuis mon arrivée le savent, je suis particulièrement attaché aux relations que je veux entretenir avec la représentation nationale. Ma porte est toujours ouverte, toujours ; vous n'avez jamais souhaité la franchir, mais vous pouvez le faire demain, et vous serez reçu comme je dois recevoir un parlementaire.
Vos allusions sont inutiles, et elles sont désagréables. Vous ne parviendrez pas à m'en faire faire assez pour que soit écrite la dépêche AFP que vous appelez de vos v? ux. On va se calmer !