Je rappelle au rapporteur que la même question s'est posée au sujet du fichier judiciaire automatisé des auteurs d'infractions sexuelles ou violentes – FIJAIT – lorsque nous avons essayé d'étendre au champ sanitaire et médico-social ainsi qu'à l'éducation nationale l'interdiction qui est déjà faite aux personnes qui y sont inscrites de travailler dans le domaine des transports et des sous-traitants.
C'est à cet endroit du texte que la question se pose. M. Pupponi demande qu'une personne ayant commis des actes de terrorisme et qui a été condamnée – il ne s'agit pas de simplement d'imaginer qu'elle ait pu éventuellement, à un moment, y prendre part : elle a été condamnée – ne puisse plus, pendant dix ans, diriger un établissement scolaire. Ce n'est pas un problème de placement dans le texte ou de forme : monsieur le rapporteur, répondez-nous sur le fond.