Oui, d'une mauvaise foi absolue. Nous avons participé à l'ensemble des débats en commission spéciale, à l'ensemble des auditions, à l'examen du texte dans l'hémicycle ; nous vous avons fait des propositions, que vous avez refusées. Et, aujourd'hui, vous nous faites un procès d'intention en nous expliquant que seul le Président de la République veut lutter contre l'islam radical.