Il y a plusieurs années, j'ai été captivée – il n'y a pas d'autre mot – par un article de Robert Badinter présentant l'ouvrage Les Enfants fantômes, qu'il avait préfacé. Je l'ai acheté, je l'ai lu, et depuis, à l'Assemblée nationale, à l'Assemblée parlementaire de la francophonie – APF – , à l'Union interparlementaire – UIP – et dans ma circonscription, je n'ai cessé de travailler à faire connaître le drame des enfants non déclarés à l'état civil dans le monde.