Ces citoyens auraient bien plus de légitimité pour trouver, à la demi-virgule près, la rédaction de l'article 1er de la Constitution. Nous devrions donc nous aplatir, nous agenouiller devant leur phrase, à laquelle nul d'entre nous n'avait songé, ne serait-ce qu'un court instant ! Et nous osons imaginer d'y changer un mot, un terme, voire de l'enrichir, comme le proposaient tous les amendements avant l'article unique et nombre d'amendements à cet article, dont celui de Loïc Dombreval, que je regrette car il représentait un enrichissement très intéressant. Je vois qu'il a reçu l'instruction ferme de le retirer et qu'il n'a pas eu le courage d'aller jusqu'au bout ;