Je vais donc vous répondre, mais j'aimerais ne pas être interrompu. Vous attendez ma réponse avec une telle gourmandise que vous aurez bien la patience de m'écouter deux secondes. Rassurez-vous, je ne serai pas très long.
Voilà, en réalité, ce que vous dites avec votre question : « Mais enfin, monsieur le ministre, pourquoi nous présentez-vous un texte qui n'est pas rédigé comme, moi, Julien Aubert, je voudrais qu'il le fût ? »