Votre remarque est d'autant plus pertinente, monsieur le président, qu'on fabrique des masques dans les prisons françaises – je le précise puisque nous évoquerons, le moment venu, le statut du détenu travailleur.
Pour le reste, je suis évidemment défavorable à l'amendement. Là encore, comment voulez-vous inscrire une telle phrase – un machin pareil, oserais-je dire si j'étais désobligeant – dans notre constitution ? Je n'ajouterai rien de crainte de devenir très désagréable mais, tout de même, Michel Debré doit se retourner dans sa tombe !
Je sais que vous voulez démolir la Constitution et que vous en préparez une nouvelle, comme on prépare des contre-référendums. Quel beau texte ce sera, si vous la rédigez comme vous écrivez vos amendements…