Vous noterez, monsieur le garde des sceaux, que, tout au long des débats de ce soir, je n'ai, malgré le mépris qui transparaît dans vos réponses, pas prononcé une seule attaque ad hominem – et je ne le ferai pas. Sans doute êtes-vous un poète, un auteur dont nous saurons mettre les talents à contribution pour rédiger nos amendements, nos articles ou la prochaine constitution. Je n'ai, pour ma part, nullement l'intention de démolir la Constitution.