J'avais bien entendu anticipé à la fois la réponse de M. le ministre et celle de M. le rapporteur. Je vous fais quand même remarquer que, lors du dernier débat avorté sur la réforme constitutionnelle, nous n'avions rien obtenu non plus en Corse. Il faudra sans doute réfléchir à faire évoluer les choses, non pas pour le plaisir de faire de l'escalade institutionnelle, mais pour celui justement de mieux gérer les réalités. Alors que nous débattons aujourd'hui de la réalité environnementale, je parle de l'évolution de la société en général, de celle de nos territoires et, en ce qui me concerne, de la Corse, qui aurait bien besoin d'évoluer dans le bon sens.