Merci de me donner la parole, monsieur le président, vous aurez remarqué que j'ai laissé le temps au ministre d'exposer ses sentiments… Je lui présente mes excuses, même si je ne devrais pas. Tout à l'heure, j'ai levé le bras pour demander la parole, et sans claquer des doigts : dans cet hémicycle, je ne vois pas d'autre moyen de le faire… S'il se trouve, monsieur le ministre, que mon bras ait été à ce moment dans votre champ de vision, n'y voyez aucune offense.