Monsieur Ravier, vous m'avez effectivement déjà parlé de ce grave sujet et je vous ai dit l'intérêt que je portais à cette question. Ce sujet important mérite autre chose qu'un débat à minuit, introduit par voie d'amendement, dans le cadre de l'examen d'un texte relatif à l'environnement – je le répéterai jusqu'au bout.
Ne croyez pas que je balaie d'un revers de manche votre proposition. Je sais votre intérêt sincère, mais nous ne pouvons traiter aussi brièvement de la question du génocide, qui mérite en soi un débat. Vous pouvez, je pense, entendre ma réponse, comme j'ai entendu votre question.