En cette journée marquant le dixième anniversaire de la catastrophe de Fukushima, survenue au Japon le lendemain d'un tsunami meurtrier, je vous remercie, monsieur Aubert et chers collègues du groupe Les Républicains, de me donner l'occasion de rappeler la fragilité du nucléaire et les conséquences colossales que peut entraîner un accident nucléaire. Le Japon, qui disposait de trente-neuf réacteurs – si je ne me trompe – le jour du tsunami, n'en a désormais plus que huit. Les deux tiers de son énergie électrique étaient alors issus du nucléaire, contre à peine 10 % aujourd'hui.
L'Allemagne a fait elle aussi le choix de réduire rapidement le nombre de ses réacteurs nucléaires…