Voilà donc les langues.
La discussion porte sur la révision de l'article 1er de la Constitution, le Président de la République ayant décidé, après avoir entendu la convention citoyenne pour le climat, de renforcer, par voie de référendum, tout ce qui milite pour la protection de l'environnement et la favorise.
En réalité, vous ne voulez pas de ce texte. Sur le terrain de l'environnement, vous êtes totalement rétrogrades. Vous avez essayé de charger le texte de tous les péchés du monde – nous l'avons entendu hier. Vous essayez désormais de le charger de dispositions de toute sorte ; vous souhaitez une révision complète de nos règles, en long, en large et en travers. Vous faites preuve d'une imagination débordante, pour ne pas dire débridée.
Je vous fais de nouveau remarquer, étant moi aussi patient et capable de répéter cent fois les mêmes choses…