J'ai un avion, monsieur le président… Il ne m'attendra pas et, comme nous sommes obligés de présenter un test PCR très récent, si je ne pars pas ce soir, je ne pourrai pas partir demain.
Sur le fond, vous avez compris la position que nous défendons. Il faut faire évoluer le statut de la Corse pour lui permettre de mieux appréhender les réalités économiques, sociales et culturelle qui lui sont propres.
Pardonnez-moi de devoir quitter l'hémicycle.