Quand les étudiants nous disent : « L'université, c'est un temps de rupture de la pratique sportive », en quoi ce texte va-t-il venir les aider ? En rien.
Quand les spécialistes nous disent qu'auparavant, les enfants couraient le 800 mètres en trois minutes, contre quatre minutes aujourd'hui parce que la sédentarité est devenue un mal aussi terrible que la fumée de la cigarette hier, que prévoit le texte pour lutter contre ce fléau ? Rien.
Quand les Français sont aujourd'hui à la dix-septième place en Europe, c'est-à-dire en queue de peloton, pour l'activité physique, que prévoit le texte pour qu'ils rejoignent la tête du peloton ? Rien.