Je souhaite saisir le président de l'Assemblée nationale, Richard Ferrand, pour lui demander de faire preuve de davantage de vigilance. En prenant trop de précautions fondées sur la jurisprudence, on restreint notre droit d'amender et on ne répond plus aux attentes réelles des citoyens que nous représentons.
Je sais très bien ce que m'a apporté le sport ; si je suis aujourd'hui devant vous pour discuter de cette proposition de loi, c'est aussi en tant qu'ancienne sportive. Or le cas de certains acteurs du sport n'est pas traité dans ce texte : les entraîneurs, les bénévoles, les arbitres.