Monsieur Ruffin, deux remarques. La première sur le fait que ce soit le secrétaire d'État au numérique qui siège au banc : compte tenu du consensus sur le sujet, je doute qu'il s'agisse, comme vous l'évoquez, d'un mépris sous-jacent. Mais allons au bout du raisonnement : si le fait que le secrétaire d'État au numérique soit au banc sur une proposition de loi concernant les assistantes maternelles est l'expression d'un mépris sous-jacent et non assumé de la société, alors il va jusqu'aux rangs de La France insoumise, où je ne vois pas beaucoup de mobilisation, mis à part vous, sur un sujet que vous estimez absolument essentiel. Il faut commencer par balayer devant sa porte.