Comme vous le savez, monsieur Dharréville, le Sénat a choisi d'aborder le sujet des praticiens salariés dans les ESPIC, qui n'ont pas la possibilité de mener une activité libérale.
En réalité, le problème réside dans l'inégalité qui existe entre les praticiens salariés des établissements publics et ceux des établissements privés à but non lucratif, les ESPIC.