Mais voilà, la crise du covid-19 est venue bousculer ce discours : alors qu'il n'y avait pas d'argent magique en 2017 et en 2018 pour financer les besoins du pays, avec cette crise, d'un seul coup, les marges financières sont arrivées. Malgré cela, vous ne lâchez pas votre discours, monsieur le ministre de l'économie, des finances et de la relance, en commençant d'ailleurs à préparer les esprits pour l'élection présidentielle. Vous dites qu'il faudra la payer, cette dette, …