… nos créanciers – la BCE et les autres – y verraient le symptôme d'un État qui ne se tient plus comptable de ses engagements. Cela entraînerait une hausse des taux d'intérêt et la dette, même réduite, deviendrait très rapidement insoutenable. Monsieur le ministre, monsieur le ministre délégué, je vous renvoie aux Templiers : un roi faux-monnayeur, c'est cent ans sans créanciers.