Il n'y a là rien d'étonnant : l'austérité ruine la croissance et le PIB grec a chuté de 25 %. Depuis lors, la troïka elle-même et ses économistes ont reconnu toutes ces erreurs. Par pitié, ne les reproduisons pas chez nous.
Je vois quatre leviers pour l'avenir de nos finances publiques. Le premier, le plus important : favoriser la croissance. Nous partageons cet objectif, mais pas votre méthode pour y parvenir, quasi exclusivement centrée sur les politiques de l'offre.