et c'est pourquoi nous allons en réduire le nombre. C'est tout le sens de l'action du Président de la République et du Premier ministre que j'aurai l'occasion de vous présenter lors de l'examen du projet de loi de finances : combiner une baisse massive des dépenses et une baisse massive de la fiscalité afin de susciter un choc en faveur des entreprises. Nous allons donc engager une réduction du nombre de contrats aidés, sans bien sûr les supprimer tous. Cela m'a d'ailleurs été reproché en commission, des députés siégeant sur les bancs de de l'opposition, telle Mme Louwagie, déplorant une forte diminution du nombre de contrats aidés. Je tenais à souligner cette contradiction !