Nous avons voulu alors réduire le niveau de la dette publique trop rapidement. Rien ne doit être engagé en matière de remboursement de la dette tant que la crise sanitaire n'est pas derrière nous et que la croissance n'est pas de retour. Rien ne doit être engagé tant que l'économie française n'a pas les épaules suffisamment solides pour commencer ce remboursement et garantir le bon rétablissement des finances publiques.