Je vous remercie, monsieur le député, pour ce témoignage. Nous en avons eu de semblables dans d'autres situations, d'autres endroits et d'autres régions. Je tiens à vous indiquer qu'aucun protocole n'interdisait les visites, notamment pour accompagner la fin de vie – mais on m'a en effet rapporté de tels témoignages. Je vous invite à lire les protocoles. Le guide éthique que j'évoquais précédemment consacre un chapitre entier à l'accompagnement en fin de vie – qui est nécessaire, presque obligatoire, mais qui n'a parfois pas été respecté en certains endroits. Sachez-le : le droit aux visites est quasiment opposable, du moins dans nos protocoles. Nous souhaitons bien sûr, nous aussi, honorer les défunts et accompagner les vivants ; c'est l'équilibre que nous devons trouver. Quelques-uns ont évoqué des propositions diverses et variées quant à ce droit de visite. Il va de soi que le droit de visite, c'est aussi le droit d'accompagner les personnes en fin de vie. Je tiens à vous redire qu'à aucun moment n'a été envisagée l'impossibilité d'accompagner les personnes en fin de vie. Le droit de visite, désormais inscrit dans le guide éthique, est ainsi réaffirmé.