Certes, c'est probablement une goutte d'eau par rapport au montant global de la crise ; mais cette goutte d'eau témoigne d'un défaut d'organisation et d'une perte de savoir-faire. Quand le ministère de l'intérieur doit gérer une crise majeure, fait-il appel à sept cabinets de conseil pour affronter les événements ? Le ministère des armées commande-t-il vingt-huit prestations de conseil en cas de crise ? Je ne le crois pas.