Les hésitations et zigzags concernant AstraZeneca, meurtriers pour la confiance, nous ont rendus furieux, comme tant d'autres. Pourtant, après investigations, il s'avère que les institutions comme l'ANSM et la Haute Autorité de santé – HAS – ont joué leur rôle conformément aux règles. S'il faut désigner un coupable, c'est peut-être le manque de lisibilité et le défaut de communication sur les enjeux.