Au fond, nous avons deux armes et deux seulement : une arme défensive, les lits de réanimation, et une arme offensive, les vaccins. Or les deux manquent cruellement, d'où la pagaille et la nécessité de gérer la pénurie. Nous n'avons ni bouclier ni glaive, pas assez de lits de « réa » et pas assez de vaccins. Tout le reste, c'est de la littérature, de la « com », du slogan.