Nous parlons d'interdire la vente d'un produit licite. La difficulté est donc de trouver un équilibre dans la proposition de loi. Je vous propose simplement d'aller au-delà de ce que vous avez constaté les uns et les autres, et d'objectiver davantage vos observations, afin de comprendre la réalité de la situation et de prendre les décisions adéquates, comme vous avez pu le faire pour les débits de tabac – je vous rejoins sur ce point.
Par ailleurs, s'il ne faut pas faire de discriminations, pourquoi n'interdisons-nous pas la vente des capsules dans les supérettes ou dans les supermarchés la nuit, de la même façon ? Vous expliquez que dans votre territoire, seules les stations-service sont ouvertes la nuit. Or dans les autres territoires, ce sont les supérettes.