Monsieur le secrétaire d'État, si je me réjouis comme vous de la présence de Jean-Paul Lecoq, je dois vous indiquer qu'à l'Assemblée nationale, il n'est pas de coutume de prendre à partie des élus de la nation lorsqu'ils ne sont pas présents dans notre hémicycle.
J'aimerais que nous puissions passer sereinement à la deuxième partie de ce débat. Je vous rappelle que la durée des questions ainsi que celle des réponses est limitée à deux minutes et qu'il n'y a pas de droit de réplique.
La parole est à M. Pierre-Yves Bournazel.