Les amendements de Jean-Charles Colas-Roy pour ce dossier
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Je salue l'intention, qui est louable, mais dans le cas d'un arrêt cardiaque, les symptômes cliniques sont assez simples : il s'agit de l'arrêt de la respiration. Ces symptômes sont les mêmes quel que soit le sexe de la victime. C'est pourquoi je demande le retrait de l'amendement ; à défaut, l'avis de la commission serait défavorable.
Il est en effet important d'inclure les personnes en situation de handicap dans les formations aux premiers secours, mais c'est déjà le cas, pour ce qui est des sensibilisations comme des formations. Il ne nous semble pas nécessaire de le répéter dans la loi. Demande de retrait ; à défaut, avis défavorable.
Le texte prévoit une sensibilisation pour l'ensemble des salariés avant leur départ à la retraite. Mais votre amendement, mon cher collègue, va beaucoup plus loin : ce serait une contrainte très forte que d'étendre à tous les sites employant au moins vingt personnes l'obligation d'une formation au secourisme, d'autant que celle-ci ne se justifi...
L'amendement est intéressant, mais incomplet à ce stade : les sauveteurs secouristes du travail, par exemple, n'y sont pas mentionnés. Je vous propose de le retirer pour le retravailler dans la perspective d'une nouvelle lecture – à défaut, l'avis serait défavorable.
Soyez rassuré : votre amendement est en réalité satisfait puisque la formation PSC1 est incluse par arrêté dans le répertoire des formations du CPF. J'en demande donc le retrait. À défaut, l'avis serait défavorable.
Avis défavorable car, même si l'intention est louable, cet amendement n'a pas de rapport direct avec l'objet de la proposition de loi.
C'est un sous-amendement rédactionnel. Sous réserve de son adoption, je suis favorable à l'amendement no 5 et demande le retrait du no 25. En tout état de cause, ces amendements en discussion commune montrent que nous sommes d'accord sur le fond.
Je comprends l'intention tout à fait louable de notre collègue, mais le handi-secourisme est déjà pris en compte dans les journées consacrées au secourisme et dans les formations aux premiers secours. Je demande donc le retrait de l'amendement. L'avis serait à défaut défavorable.
Il est vrai que je suis sensible à l'objection formulée par M. Molac, mais je précise que ce sera un décret qui précisera la date de la Journée nationale prévue à l'article 6, et je pense que l'ensemble des acteurs du secourisme se mettront d'accord pour décider s'il est plus opportun de la caler sur d'autres journées éventuellement déjà exista...
J'ai l'impression que nous nous sommes mal compris. Tout comme vous, nous ne sommes pas favorables à l'instauration de cette journée nationale car nous estimons que le handi-secourisme fait partie du secourisme.
… que vous avez raison d'évoquer. Je ne crois pas, cependant, qu'elle ait un rapport direct avec le texte en discussion.
J'ajoute que le Gouvernement a engagé une concertation avec les pompiers et le SAMU. Il semble préférable d'en attendre les résultats avant de trancher sur ce sujet sensible, …
même si des difficultés liées au survol de zones stratégiques ou militaires devront peut-être être levées.
Chaque année, en France, 40 000 à 50 000 personnes décèdent de mort subite, que l'on appelle aussi arrêt cardiaque inopiné. Le nombre de ces décès est 10 fois supérieur à celui des accidents de la route, mais on en parle encore trop peu, car on considère trop souvent que l'arrêt cardiaque est une fatalité, face à laquelle on ne peut rien faire....
Nous pensons qu'il est nécessaire d'introduire dans la loi les dispositions proposées car, à l'heure actuelle, seulement 30 % de la population française est sensibilisée aux gestes qui sauvent, ce qui est bien trop peu. Nous le voyons, nos concitoyens n'agissent que trop rarement encore en cas d'arrêt cardiaque, ce qui peut s'expliquer par not...
L'article 6 vise à créer une journée nationale de la lutte contre l'arrêt cardiaque et de sensibilisation aux gestes qui sauvent. La communication massive est un enjeu important dès lors qu'il s'agit d'inviter nos compatriotes à connaître les gestes qui sauvent. Le titre III comporte diverses mesures de clarification et d'organisation des disp...
Il est identique au précédent. Le but n'est pas, je le précise, de demander un rapport au Gouvernement, mais d'étudier sept indicateurs parmi lesquels le nombre de défibrillateurs automatiques externes en service sur le territoire national, le taux de survie à l'arrivée à l'hôpital et le taux de survie à trente jours. Il s'agit d'évaluer nos p...