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Vigilance sanitaire
(Article 2)


Les interventions de Marc Le Fur


Les amendements de Marc Le Fur pour ce dossier

13 interventions trouvées.

Nous, la liberté nous intéresse, mes chers collègues, nous croyons qu'elle mérite d'être défendue ; voilà le sujet !

J'ai connu une autre époque où votre mouvement se réclamait d'autres idées et où la liberté faisait partie de son corpus essentiel.

Je le dis précisément à votre attention, chers collègues du groupe Dem. Vous voulez absolument éviter le débat,…

…vous ne fournissez pas d'explications, je n'entends pas le Gouvernement nous indiquer pourquoi il faut absolument enjamber cette période électorale. Pour nous, la liberté compte. Nous pouvons parfaitement admettre qu'elle soit, à un moment donné, mise entre parenthèses, à la condition que les mesures prises soient proportionnées, qu'elles s'ap...

Le premier mot de la devise républicaine est « Liberté ». Ce n'est pas une illusion, ce n'est pas pour faire beau. C'est un principe auquel les députés de notre groupe – et, j'en suis convaincu, bien au-delà – sont attachés.

Nous considérons qu'en certaines circonstances, des restrictions peuvent être apportées à la liberté, à condition qu'elles soient proportionnées, qu'elles ne durent qu'un temps restreint et soient contrôlées par le Parlement. Ces conditions ne sont pas réunies ; nous voulons donc absolument faire adopter ces amendements de suppression.

qui ont eu le mérite et le courage de prendre une position qui, certes, est singulière dans leur groupe, mais qui fait honneur au mandat qu'ils exercent ! Monsieur le ministre, pourquoi sommes-nous réunis en ce 20 octobre ? Pour nous interdire tout débat au printemps prochain et durant le premier trimestre de l'année prochaine ! L'évidence est...

Vous avez le droit, en tant que parlementaires, de réduire les libertés de nos concitoyens lorsque c'est indispensable, mais vous n'avez pas le droit de déléguer cette réduction des libertés à un homme seul !

C'est cela que nous disons aujourd'hui : la liberté, ça compte, la liberté, nous en sommes les garants, la liberté, c'est ici qu'on la défend !

Il vise à autoriser une territorialisation ou une régionalisation – peu importe le terme retenu – des contraintes, en tout cas leur adaptation aux circonstances de temps et de lieu. Ce principe devrait nous réunir. Le ministre – qui pourrait peut-être me répondre s'il écoutait

– accepte d'ailleurs une certaine territorialisation des mesures, puisqu'il a par exemple admis que le port du masque ne soit plus obligatoire dans les écoles de certains départements alors qu'il le reste dans d'autres.

Cette territorialisation se fonde sur un critère objectif, à savoir la prévalence de la maladie. Je considère – et je ne suis pas le seul, puisque le professeur Houssin et d'autres sommités médicales indiquent également leur préférence pour la territorialisation – qu'il faut tenir compte des circonstances de temps, ce dont tout le monde convie...

Hélas, ce texte s'appliquerait durant les mois d'avril, mai, juin et juillet prochains, une période durant laquelle nos compatriotes vont se précipiter vers les terrasses et vouloir déjeuner en extérieur. Comme chacun sait, le risque est bien moindre en extérieur et, dans ce contexte précis, le passe ne devrait pas être exigé. Monsieur le mini...