Les amendements de Martine Wonner pour ce dossier
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Pourquoi garder cet outil tout à fait inutile – je répète que ce ne sont pas mes mots –, ou plutôt dont la seule utilité est de rappeler aux Français, lesquels sont sans doute complètement idiots, que le virus continue à circuler ? Tout ceci est parfaitement scandaleux ! Cessons de maintenir sous cloche 67 millions de Français et de les empêche...
Malgré l'heure tardive, ce que vous proposez est tellement grave que l'on ne peut pas se contenter, pour présenter un amendement, de dire : « il est défendu », même si nous avons tous envie d'aller nous coucher.
Ce que vous êtes en train de faire est totalement incompréhensible, et je remercie tous mes collègues de vous poser la question. Quel est l'objectif de cette proposition présentée en catimini par voie d'amendement, qui est devenue un article du texte ? Nous ne pouvons pas l'accepter. Imaginez-vous la conséquence de la levée du secret médical ? ...
Cela pourrait arriver, tant vous allez loin, avec vos propositions inconséquentes. Vous secouez la tête, madame la ministre déléguée, mais nous attendons une réponse.
J'espère que vous allez vous engager à nous répondre, car un grand nombre de citoyens, ainsi que de pères et mères de famille, sont très inquiets de ce que vous proposez ou de ce que vous apprêtez à faire avec les enfants.
C'est totalement désespérant. Je vous ai écoutée attentivement : j'espérais pouvoir m'accrocher à un argument grâce auquel j'aurais expliqué à tous les citoyens qui posent la question qu'ils peuvent encore confier sereinement leurs enfants à l'éducation nationale. Savez-vous ce que vous faites ? Vous en écartez beaucoup d'enfants. À cause de t...
Cet amendement pointe une absurdité, une de plus. Contrôler un certificat de contre-indication signifie qu'on ne fait plus confiance aux confrères puisque ce sont des certificats médicaux, signés par des docteurs en médecine, qui connaissent leur métier en principe. Il est vrai que cela fait dix-huit mois qu'on ne leur fait plus confiance : on ...
Je souhaite intervenir sur l'article 2 – dont je propose la suppression, au travers d'un amendement que je défendrai un peu plus tard – pour revenir sur le régime de sortie de crise sanitaire qui devait prendre fin le 15 novembre. Cela aurait été parfaitement cohérent…
…avec les indicateurs actuels de la crise épidémique : ceux-ci sont très favorables, sauf en Guyane. Mais vous préférez continuer à imposer des mesures iniques et liberticides jusqu'au 31 juillet 2022, et la première question que je souhaiterais vous poser est : pour quelle raison ? Est-ce que cela se justifie par l'état sanitaire de la populat...
Tout d'abord, je reprends mon propos où je l'avais laissé, c'est-à-dire au sujet des soignants de la Martinique, pour me réjouir de l'heureuse issue qu'a connue ce territoire. Ensuite, monsieur le ministre, vous nous dites au fond que l'objet de nos débats ne constitue qu'une boîte à outils, qu'il n'est pas question d'imposer le passe jusqu'au...
Aujourd'hui, partout en France, des enfants et des adolescents sont privés de pratique sportive : il leur faudrait le passe pour obtenir une licence et fréquenter un club de football, par exemple. Hier encore, alors que je discutais avec des citoyens devant le Palais-Bourbon, l'un d'eux, qui travaille dans une médiathèque, me dépeignait une sit...
Le dernier alinéa de l'article 12 de la loi du 5 août 2021 prévoit en effet la possibilité de mettre fin à l'obligation vaccinale si tous les indicateurs sont favorables. Vous n'en avez rien fait : vous n'avez pas respecté les Français, une fois de plus.
Il s'agit en effet d'un amendement de suppression de l'article. Mme la ministre déléguée Brigitte Bourguignon pourra peut-être nous fournir des preuves que le vaccin protège réellement les personnes et, surtout, qu'il empêche la transmission du virus. Mais il n'en est rien. Pourquoi, dès lors, obliger toute une catégorie de professionnels – les...
Pourquoi aller encore plus loin, alors que nous avons désormais du recul sur différentes pratiques ? Certains hôpitaux continuent ainsi de fonctionner avec des soignants dont tous ne sont pas vaccinés : on n'y constate ni aggravation de l'épidémie, ni formation de clusters. Nous sommes à quelques semaines de la mise sur le marché d'un vaccin t...
De grâce, ne renforcez pas la pression qui pèse sur les soignants, et laissez-leur la liberté de choisir.
J'imagine que, comme dans le Grand Est, chers collègues, vous vous réunissez régulièrement avec vos instances – le préfet et l'agence régionale de santé. Pour notre part, nous y procédons tous les quinze jours. J'en tire un constat qui ne peut que m'inquiéter, alors que nous entrons dans l'hiver : certains hôpitaux sont en difficulté, des servi...
Car oui, vous avez précipité une partie des soignants et des pompiers vers une situation qui s'apparente à une mort sociale.
Tout à fait ! Ils avaient le choix entre une extorsion vaccinale et une décision très lourde, que plusieurs d'entre eux ont prise. Des femmes, notamment des aides-soignantes, se retrouvent ainsi seules avec des enfants. Des caisses de solidarité ont été créées dans tous les départements. Des soignants ont fait des tentatives de suicide.
Ne haussez pas les épaules, madame la ministre déléguée ! Je ne fais que partager les témoignages que je reçois au quotidien. Telle est la réalité de plusieurs soignants. Lorsque l'on compare la France à d'autres pays, on constate que même la Chine n'a pas exercé une telle pression vaccinale !
Avant de défendre l'amendement, je prends le temps de vous donner les chiffres demandés par M. Aubert.