Les amendements de Philippe Folliot pour ce dossier
7 interventions trouvées.
En tant que président de la délégation française à l'Assemblée parlementaire de l'OTAN, je tiens à dire que je suis un peu gêné par l'« OTANphobie » de certains de nos collègues. Je tiens à souligner qu'un travail de fond est mené, qui comprend un contrôle parlementaire, ne serait-ce que par le biais de notre délégation, composée de collègues i...
Sur la forme, je suis d'accord avec les propos que viennent de tenir notre collègue Becht ainsi que M. le président de la commission. Sur le fond, la question posée par notre collègue Furst traite d'un vrai problème. J'aimerais appeler votre attention, madame la ministre, sur un point que j'ai déjà évoqué avec certains de vos prédécesseurs : l...
Je rejoins M. le rapporteur et Mme la ministre. Un système d'anticipation et de renseignement autonome ne serait pas opérationnel. L'efficacité passe par l'échange d'informations et la coopération, qui, n'en déplaise à certains, se fera naturellement dans l'Alliance atlantique à laquelle nous appartenons depuis plus d'un demi-siècle, non seulem...
Si nous partageons l'objectif de M. Lachaud, son amendement nous semble irréaliste. Par exemple, nous avons déjà parlé de l'île de la Passion, ou île Clipperton, située dans une zone économique exclusive de près de 440 000 kilomètres carrés, ce qui n'est pas rien comparé aux 345 000 kilomètres carrés de la métropole. Il faut huit jours de mer p...
C'est un sujet particulièrement important. Il faut repréciser les choses. Si la France fait partie de l'OTAN, si elle a réintégré son commandement, elle n'appartient pas pour autant au Groupe des plans nucléaires.
Cela lui permet de conserver sa totale autonomie décisionnelle et stratégique, comme cela a été dit par Mme la ministre. C'est un élément essentiel qu'il faut garder en mémoire. À défaut, on ne parle absolument pas de la même chose. Cet amendement n'a donc pas lieu d'être. Il faut s'en tenir à nos objectifs actuels. Par ailleurs, si la France ...
Soyons sérieux ! La France a cinquante fois moins de têtes nucléaires que les États-Unis et que la Russie ! Vouloir diminuer le nombre de nos têtes nucléaires revient à mettre en cause le principe même de la dissuasion. Monsieur Lecoq, si j'ai un conseil à vous donner, c'est celui d'essayer de convaincre vos collègues de la Douma ou du Congrès...