Les amendements de Ugo Bernalicis pour ce dossier

27 interventions trouvées.

Nous avons besoin d'un retour à la raison, pas de coups de menton ou d'interpellations – le compte Twitter du ministre de l'intérieur est un festival d'interpellations et de saisies de stupéfiants inférieures à dix grammes : voilà qui nous tirera d'affaire ! Heureusement qu'on ne compte pas sur lui pour régler les problèmes et que les procureur...

Je m'efforce de décortiquer les arguments qui sont apportés en réponse à nos amendements, car ce sont souvent les mêmes. En l'occurrence, on pointe une absence de publications. Or le dernier rapport annuel de l'observatoire date de 2018 : il n'est pas encore trop ancien, d'autant que la remise du rapport pour 2019 a pu être retardée par l'épidé...

Madame la ministre, il doit y avoir incompréhension : le passage de l'observation à l'action, tel est justement l'objectif de l'observatoire.

Il procède à des constats, à des évaluations, notamment à partir de questionnaires. Ces résultats sont ensuite transmis au ministère, à qui il revient alors d'agir. Ce n'est pas contradictoire mais tout à fait complémentaire. Peut-être proposez-vous de cesser les envois de questionnaires aux chefs d'établissement – car si les problèmes sont in...

Permettez-moi d'enfoncer le clou. Je vois bien, madame la ministre, que vous avez des difficultés à trouver des arguments. Vous essayez d'affirmer que, malgré le travail accompli et en vertu du droit à la réorganisation, la mission confiée à l'observatoire doit revenir à un service du ministère. C'est inutile, puisque le ministère est déjà char...

Les ARS sont un vrai sujet. Pourquoi ont-elles été créées ? À quoi ont-elles servi jusqu'à présent ? Elles ont servi à rationaliser la politique de santé, et donc à décliner le new public management, c'est-à-dire la gestion à la performance, dans la sphère de santé au niveau déconcentré. Cela consiste à s'intéresser au paiement à l'acte, au nom...

Ce fut l'apothéose dans la région Grand Est : en pleine crise sanitaire, on continuait d'appliquer le plan de suppression de lits. C'est complètement dingue ! En juillet dernier, j'ai visité un centre de rétention administrative où une infirmière de l'hôpital de Seclin venait d'arriver pour faire un remplacement. Son arrivée était trop récente...