Le sujet est grave !
Cette candidature ne peut pas être enregistrée ! C'est du délire !
Nous sommes la risée de tous !
Vous le saluerez de notre part !
Un député de la nation est ancré dans son territoire !
Mais que l'on protège !
Le Gouvernement a fermé la porte.
Et Jean-Jacques Urvoas ? Et Dominique Raimbourg ?
Promesses, promesses !
La propriété, c'est le vol.
Sur ce point, il a raison !
Je suis d'accord.
Vous profitez de la tribune, mais ce n'est pas le sujet !
Ce n'est pas faux !
Votre réquisitoire !
C'est du brutal !
Cela fera des élus complètement coupés de la réalité des choses et de la vie !
Des députés hors sol !
Ce n'est pas faux.
Il fait de nous des députés hors sol.
Laborieux : le mot est maladroit !
Ceux-là sont bénévoles !
C'est dommage, cette sortie de route à la fin !
Elle commence, elle aussi !
Il a raison ! Il faut des preuves !
Je voudrais appeler mes collègues à faire preuve d'un peu d'humilité. En effet, ces textes ne sont ni l'alpha ni l'oméga qu'ils nous présentent : je rappelle que, depuis 1985, trente et un texte ont été votés sur ce sujet. Il y a eu un début avant, il y aura une suite après – et pas nécessairement la réforme constitutionnelle, qui ne concernera que certaines dispositions de notre loi fondamentale. Je m'interroge sur ces textes, comme nombre de mes collègues, sans toutefois leur opposer autant de griefs que les députés de La France insoumise. En effet, l'initiative qui nous est soumise – qui répond, faut-il le préciser, à des objectifs de ...
… et qui ne fait aucun cas du pantouflage, du conflit d'intérêts, de la porosité entre le public et le privé – bref, un texte d'annonces plus que des dispositions concrètes. Mais comme, encore une fois, nous sommes attachés au principe même de ces textes, nous ne voterons pas avec La France insoumise.
La majorité est aux ordres !
Ce qui s'appelle un mandat impératif !
Pour le moment, il n'y a rien sur ce point !
C'est du bla-bla !
Il n'y a pas de statut, c'est bien cela qui est gênant !
J'aurais préféré que nous consacrions un peu plus de temps à une loi de finances rectificative. Cela aurait peut-être évité de baisser ici ou là le budget de la défense, de massacrer les étudiants ou les personnes aux revenus modestes, qui ont besoin de leur allocation logement.
Il est évidemment très difficile de déposer des amendements, chacun a pu le constater, au lendemain du 14 juillet.
… qui passeront à la trappe.
Ce sont les instruments de musique ou le tatami qui ne seront pas achetés.
C'est de la démagogie !
Vous avez trahi vos électeurs !
Vous êtes bien placée pour en parler !