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…ayant été les dernières à bénéficier de l'eau potable sur leur territoire, les fuites y étaient moins nombreuses. Il faut cependant souligner que l'on doit à l'intercommunalité – c'est son aspect positif – le fait que tous les réseaux aient été interconnectés. Maintenant, je voudrais soutenir les positions défendues notamment par les élus de montagne. Ma chère collègue ,
vous évoquiez les noms des villages de votre circonscription contenant le toponyme « le-Sec », en ajoutant qu'ils devaient être approvisionnés en eau potable grâce à des citernes. Ce qui est certain, c'est que ce n'est pas l'intercommunalité qui résoudra le problème ;…
Comme l'a dit notre collègue, il y a des territoires, par exemple dans la Drôme provençale – ma circonscription se trouve dans le département des Hautes-Alpes mais géographiquement, elle fait partie de la Drôme provençale –, où certaines communes n'ont pas toujours de l'eau en plein été. M. Jolivet l'a expliqué : ce n'est pas l'intercommunalité qui fera jaillir de l'eau de la source au mois d'août. Ça, c'est clair ! En revanche, ce qui permet d'avoir de l'eau quand la source est tarie, c'est la solidarité entre les communes. Or une telle solidarité existe depuis des décennies voire des siècles : elle n'a pas besoin d'une communauté de communes pour exister, bien au contraire. Comme je vous le disais, il y a parfois, dans certains EPCI, ...