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...ions en vue d'optimiser les retombées touristiques des grands évènements sportifs : nous avions préconisé que l'on permette aux entreprises d'utiliser le compte personnel de formation (CPF) de leurs employés afin de faire acquérir à ces derniers des compétences correspondant à des certificats de qualification professionnelle (CQP), par exemple une compétence d'accueil mobilisable à l'occasion des Jeux olympiques, ou de la Coupe du monde de rugby, et valorisable au sein de l'entreprise. Il y aurait donc matière à progresser dans ce domaine : je suis prêt à en discuter avec vous.
Il vise à reconnaître officiellement les Deaflympics, destinés aux athlètes sourds, au même titre que les Jeux olympiques et paralympiques. Les sportifs porteurs d'un handicap auditif sont en effet les seuls handicapés physiques ou sensoriels dont le Comité paralympique international n'admette pas la participation ; le CNOSF, qui s'occupe des Jeux olympiques, ne l'accepte pas davantage. Depuis 1924, ils se mesurent donc dans le cadre des Deaflympics, qu'organise le Comité international des sports des sourds. Or celu...
... l'argent, comme les matchs et les fêtes, n'ont pas pu avoir lieu non plus l'année dernière. Depuis la rentrée, c'est l'instauration du passe sanitaire qui met un frein à la pratique sportive des adultes mais aussi des enfants dès l'âge de 12 ans. Les associations doivent faire face à des difficultés de trésorerie quasiment insurmontables. Face à cela, les sommes consacrées chaque année pour les Jeux olympiques et paralympiques de 2024 sont colossales. Je profite de parler des Jeux, madame la ministre déléguée, pour vous rappeler que vous avez, sans doute involontairement, oublié de me répondre au sujet de la médaille d'or obtenue par Steven Da Costa en karaté et de l'importance de ce sport lors des Jeux de 2024 à Paris. Emmanuel Macron lui-même a déclaré que les sportifs n'avaient peut-être pas été au ...
Mais non, chère collègue, vous devriez m'encourager à prendre la parole ! Je vous remercie, madame la ministre déléguée, pour votre réponse qui me fait chaud au cœur. Je sais qu'il y a d'autres championnats, du monde ou de France, mais les Jeux olympiques restent les Jeux olympiques. Je vous remercie que la France ait insisté pour que le karaté y soit présent. Comment pouvons-nous ensuite tous ensemble, de manière transpartisane, convaincre d'autres pays ? Travaillons ensemble pour que le karaté, qui était présent à Tokyo, le soit aussi à Paris ! Dans la mesure où c'est nous qui recevons les Jeux, je pense que nous avons peut-être, un chouïa,…
À de nombreuses reprises depuis le début de la crise sanitaire, j'ai proposé, avec mes collègues de la majorité présidentielle, plus spécifiquement du groupe d'études « Économie du sport », la création d'un crédit d'impôt « Esprit olympique 2024 » afin de soutenir le sponsoring pour l'année fiscale 2022 et pérenniser ce soutien financier au sport français jusqu'aux Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. L'impact de la crise sanitaire sur l'ensemble des entreprises – grandes et surtout petites – les a contraintes à faire des choix budgétaires. Ces arbitrages se sont souvent opérés au détriment du budget de la communication couvrant les dépenses liées au sponsoring, au partenariat sportif, qui ont connu une baisse de 30 % en moyenne. Or le sponsoring est une manne f...