Interventions sur "venir"

79 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDavid Habib :

...rès sincèrement, ainsi que vous le mesurez vous-même, monsieur le président, nous ne pouvons pas reprendre nos travaux avant que les présidents de groupe n'aient été réunis sous l'autorité de François de Rugy. De même, nous ne pouvons pas reprendre nos travaux sans que ce dernier ou quelqu'un qu'il ne m'appartient pas de désigner ne nous informe de l'heure à laquelle le ministre de l'intérieur va venir devant notre assemblée.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaÉric Coquerel :

Nous proposons des solutions qui vous permettraient de gagner du temps. Par exemple, si nous n'avions pas attendu dix heures pour créer une commission d'enquête, si vous aviez demandé à M. Collomb de venir s'expliquer devant nous, peut-être serions-nous déjà en train de débattre de ce qui devrait nous concerner. Mais, chaque fois, vous avez un train de retard, et les événements vous rattrapent. Il y a une solution : vous pouvez réunir la commission de lois pour qu'elle auditionne tout de suite M. Collomb dont nous avons vérifié l'agenda – il ne fait rien aujourd'hui. Ainsi, nous pourrions avancer e...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarie-Pierre Rixain :

qui, en des temps anciens, a conduit non pas à des crises politiques, mais à des drames de l'histoire. Notre responsabilité politique est une responsabilité d'engagement face à l'avenir, lequel exige une réforme de nos institutions voulue par les Français représentés par chacun de mes collègues sur ces bancs. Employons notre énergie à rapprocher enfin nos concitoyens des institutions et à construire une démocratie plus représentative et plus efficace.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAlexis Corbière :

… qui ouvre au Gouvernement la possibilité de venir s'exprimer dans l'hémicycle. Il y a ici quelqu'un qui représente le Gouvernement : c'est Mme Belloubet. Pourrait-elle, au nom du Gouvernement, répondre au président Mélenchon ? Le Gouvernement est-il, oui ou non, prêt à venir dans cet hémicycle ? Mme la ministre peut répondre à cette question. Pour finir, nous demandons un peu de dignité. Nous avons appris que le Premier ministre pourrait s'expr...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPatrick Hetzel :

Je voudrais revenir quelques instants sur les propos tenus par M. Questel, qui a fini son intervention en disant aux collègues de l'opposition qu'ils n'aimaient pas la France. Je tiens à dire que ce qui nous rassemble tous, c'est notre attachement à la France et à la Nation. Tenir de tels propos dans cet hémicycle, c'est extrêmement grave. Cela relève d'une vision manichéenne. Peut-être est-ce celle du groupe La Rép...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaNicolas Dupont-Aignan :

Vous ne pouvez pas, d'un côté, revendiquer le statut de majorité investie par le suffrage universel, et de l'autre, refuser les moyens de débloquer la situation. Et le seul moyen objectif, sincère et conforme à l'esprit des lois pour y parvenir, dans un régime parlementaire démocratique, c'est que le ministre de l'intérieur, dont l'agenda est aujourd'hui vide – où est-il, d'ailleurs ? – , ou le Premier ministre viennent s'expliquer sur ce qui se passe aujourd'hui dans notre pays. Le second point que je voulais souligner, c'est qu'honnêtement, cela ferait beaucoup de bien aux députés de la majorité comme à ceux de l'opposition d'aller s...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPierre-Henri Dumont :

Éviter d'arriver comme un cheveu sur la soupe permettrait de ne pas hystériser les débats. Mon rappel au règlement concerne les propos qui ont été tenus auparavant. Je ne comprends pas les propos du premier questeur : il a affirmé que chaque jour où nous siégeons représentait un coût supplémentaire pour l'Assemblée nationale ; pourtant, j'ai bien souvenir, monsieur le rapporteur général, que vous nous avez expliqué, dans une quasi-unanimité sur tous les bancs de l'hémicycle, que comme les primes étaient forfaitisées, il n'y avait pas de coûts supplémentaires, en session ordinaire comme extraordinaire.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPierre-Henri Dumont :

Mes chers collègues, je vous ai également entendus dire que les Français avaient d'autres priorités que de nous écouter débattre de ce qui est en train de devenir un scandale d'État. Peut-être ! Peut-être en effet que les Français préféreraient qu'on s'attaque à la question du chômage, de la fracture sociale ou de la ruralité – …

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMaina Sage :

… pour bloquer la discussion. Je voudrais revenir sur ce qu'ont dit certains d'entre vous à ce sujet. Je regrette qu'à chaque fois que nous prenons la liberté de déposer des amendements, vous considériez cela comme un blocage.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLuc Carvounas :

Je demande que le président de Rugy vienne reprendre sa place au perchoir. Si le quatrième personnage de l'État n'arrive pas, depuis vingt-quatre heures, à faire venir le ministre de l'intérieur, quel est le pouvoir du Parlement ? Qu'est-ce que c'est que ce parlement de godillots ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLaurent Furst :

Je vais y venir, madame. Depuis hier, j'essaie de dire que quand quelqu'un commet des faits, il en est responsable. La commission d'enquête établira ces faits et en discutera. Au-delà, le vrai problème, c'est la couverture de ces faits. Des éléments nouveaux sont apparus. Notamment, nous savons maintenant que le ministre de l'intérieur savait. Cela signifie une chose très simple : c'est qu'aux termes de l'artic...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaUgo Bernalicis :

...ous les éclaircissements nécessaires pour connaître la vérité sur cette affaire. Le Premier ministre a indiqué qu'il viendrait ici mardi prochain, « ou avant, dès lors que dans le cadre des procédures normales, on me le demandera », a-t-il ajouté. Ça tombe bien, car l'article 51-1 de la Constitution, dont nous avons parlé tout à l'heure, permet au Gouvernement – notamment le Premier ministre – de venir s'exprimer devant nous. Il serait temps qu'il se déplace jusqu'à l'Assemblée nationale : nous l'attendons de pied ferme. De toutes façons, d'ici là, il est hors de question que nous poursuivions nos travaux.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPhilippe Vigier :

Pourquoi ne voulez-vous pas qu'il vienne s'exprimer ? Auriez-vous peur des révélations ? Gérard Collomb, ce n'est plus la peine : il a déjà menti. Lui, c'est terminé, on n'en parle plus. C'est le Premier ministre qui doit venir ici. Vous avez adopté la loi pour la confiance dans la vie politique – non sans avoir refusé des amendements de l'opposition visant à améliorer la confiance, ce que je n'ai pas oublié. À présent, madame la garde des sceaux, vous défendez un projet de loi constitutionnelle dont le titre indique qu'il est « pour une démocratie plus représentative, responsable et efficace ». Faites donc preuve vous...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSébastien Chenu :

Nous nous rendons bien compte que la séance n'avance pas, que le temps passe, et nous ne voyons pas apparaître un seul des ministres dont nous réclamons la présence – on peut d'ailleurs se demander pourquoi. Qu'est-ce qui empêche les ministres de venir répondre aux questions que veulent leur poser les parlementaires ? Ils sont planqués, absents ; ils ont disparu. L'État a pris la poudre d'escampette. Le ministre de l'intérieur a dit des contrevérités au Sénat : quel intérêt aurions-nous à l'accueillir ? C'est au tour du Premier ministre de rétablir les choses. Cette crise démocratique est due au fait que les ministres et l'Élysée n'ont pas res...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSébastien Jumel :

Pardonnez-moi, monsieur le président, mais je tentais désespérément de joindre le ministre pour le convaincre de venir ; or il semble qu'il ne réponde pas plus aux députés de l'opposition qu'à ceux de la majorité. Depuis dix jours, nous insistons sur le fait qu'un des principaux dangers pour notre démocratie, c'est le fait majoritaire, qui ne vous permet pas, d'une certaine manière, d'avoir une position indépendante du pouvoir exécutif.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaNicolas Dupont-Aignan :

...nos débats pour entendre le ministre de l'intérieur, autrement dit à jouer, tout simplement, notre rôle de représentants du peuple. Les Français attendent en effet de l'Assemblée nationale qu'elle les représente, c'est-à-dire qu'elle puisse, dans un moment de crise, entendre le Gouvernement. Je suis très étonné de votre attitude, chers collègues de la majorité. Pourquoi avez-vous si peur de voir venir ici le ministre de l'intérieur ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaNicolas Dupont-Aignan :

Pourquoi même suspendre nos débats, au milieu de nos joutes oratoires, alors que le ministre de l'intérieur, s'il n'a rien à se reprocher, peut venir s'exprimer devant nous ? Le choix est très simple : soit le ministre de l'intérieur vient, dit la vérité et sauve sa conscience, soit il ne vient pas et il doit alors démissionner. La réalité, en effet, c'est que l'exécutif est aux abois car il ne connaît pas la vraie vérité : seul Emmanuel Macron la connaît. La vraie vérité, c'est qu'il y a eu la tentation, sans aucun doute, de mener des opérat...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDanièle Obono :

non seulement devant le Sénat, où il apparaît aujourd'hui que le ministre de l'intérieur a menti, mais ici où aucun ministre n'a daigné venir fournir des explications. Oui, il existe une obstruction, qui est le fait non de l'opposition, mais de la majorité, …

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMichel Castellani :

Cette pénible affaire réveille en nous des souvenirs douloureux ; en effet, en Corse, nous avons été menacés, frappés, insultés et même plastiqués à de multiples reprises par des personnages connus, impunis et couverts par l'autorité préfectorale. C'est pourquoi, pour rien au monde, nous ne voulons voir ce genre d'affaires revenir dans l'actualité. Or celle qui nous intéresse aujourd'hui nous semble, par bien des aspects, difficilement supportable...